Merci pour les souvenirs de Cecelia AHERN

Publié le par LAURA

Merci pour les souvenirs par AhernEditions FLAMMARION –413 pages – 4è de couverture

Après un accident qui a bouleversé sa vie et détruit son mariage, Joyce Conway ne doit la vie qu’à une transfusion sanguine. Mais des phénomènes étranges commencent à se produire. Elle se souvient de choses qu’elle n’a pas vécues. Elle peut parler des heures durant des rues pavées et sinueuses de Paris, ville qu’elle n’a jamais visitée, ou disserter sur l’architecture baroque. Et toutes les nuits, elle rêve d’une petite fille aux cheveux blonds.

Dès lors, Joyce n’aura plus qu’un but : découvrir à tout prix qui lui a donné son sang, dans l’espoir de comprendre ce qui lui arrive. Et retrouver le charmant Américain dont elle a fait la connaissance à sa sortie de l’hôpital.

 L’auteur :

Cecelia Aherne-author-books-great reads-woman and homeCecelia AHERN est née en 1981 à Dublin ; elle est la fille de l’ancien Premier Ministre ;  Son premier roman, PS : I love you, a été adapté au cinéma. Tous ses romans sont des best-sellers. Celui-ci est le sixième.

Mon avis :

Livre-guimauve parfait pour une période de froid et de neige. Lovée dans un canapé douillet, la thermos de thé à portée de la main, le chat ronronnant contre moi, je me suis lancée dans ce joli roman qui tempère les horreurs que l’on voit à la télé ou qu’on lit dans les journaux.

Les personnages sont bien typés, (stéréo) typés (?) et le scénario un peu prévisible, mais on se laisse prendre au jeu car l’écriture est très fluide.

Un gros ++ pour la relation entre le père et la fille, petit bijou de complicité, de tendresse et d’un grain de folie. Un bon moment de lecture dont il restera de bons souvenirs….

Un autre ++ pour le graphisme de la double couverture qui est un vrai bonheur visuel.

Traduction de Maryse Leynaud.

Lien vers son site  : http://cecelia-ahern.com/

Citations  :

*Mon cœur bat plus vite maintenant, seul combattant encore debout sur le ring, gant de boxe rouge qui pompe victorieusement dans les airs, qui refuse d’abandonner.

*Il regarde les jeunes visages [de ses étudiants] qui l’observent. Leur esprit est un récipient vide, qui attend d’être rempli. Il y a tant à apprendre, et si peu de temps, si peu de passion en eux pour comprendre vraiment. C’est son travail de leur insuffler cette passion.

*Parfois on a besoin de toute la colle qu’on peut trouver, juste pour ne pas tomber en morceaux.

*Il a toujours l’aura que j’avais sentie le jour où je l’avais vu pour la première fois, (…) une présence qui propulse mon estomac sur l’échelle menant au plongeoir d’une finale des Jeux Olympiques.

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